Ladite violence - Des réponses inédites
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Ladite violence - Des réponses inédites
Bonjour,
Voici une proposition d'activité hors du cadre de la formation (pour ne pas vous obliger à vous libérer 3 samedis après-midi de suite...). Un après-midi qui intéressera les personnes intéressées par le travail avec des enfants. Y participent des personnes issues du champ de l'enseignement, des institutions pour enfants et des psychanalystes.
J'espère y voir quelques unes d'entre vous.
CD
En 2009, une première rencontre inter-laboratoires avait été organisée par les quatre laboratoires de Bruxelles, Lille et Tournai sur le thème du "décrochage". Nombreux sont les participants qui ont voulu voir l’expérience se réitérer.
Cette fois, c’est à Tournai que se réuniront les quatre mêmes laboratoires autour du thème de ladite violence. Chaque laboratoire présentera une situation liée à cette question en fonction de son axe de recherche propre.
Il s’en suivra des échanges, animés par Jacqueline Dhéret, psychanalyste à Lyon, membre de l’ECF, et elle-même responsable d’un laboratoire de recherche et Philippe Cousty, membre du bureau du CIEN.
Argument
Ladite violence, qu’elle s’immisce dans l’école ou dans tout autre lieu de la cité, produit souvent la mise à mal du lien social entre les parties concernées. Vouloir l’éradiquer, la faire taire ou l’ignorer par tous les moyens apparaît comme la tendance actuelle, contingente, de notre société qui tend à masquer la dimension nécessaire liée à cet état, que l’on peut nommer agressivité. A voir les réponses proposées, on peut en effet se demander si notre société actuelle n’aurait pas produit une rupture dans la subjectivité de nos enfants, transformant l’agressivité des jeunes turbulents du siècle dernier en troubles du comportement à éradiquer en fonction des derniers tests de dépistage standardisés ?
Il n’est pourtant pas question de rester muet face à la violence mais ce repérage, produit par le discours psychanalytique, peut ouvrir de nouvelles pistes de réponse qui ne cherchent pas à éliminer ce mal nécessaire mais tentent de trouver, au cas par cas, des stratégies susceptibles de la pacifier et de la rendre viable pour tous.
L’après-midi se déroulera le samedi 4 juin de 14h à 17h30 en la Salle des Fêtes de l’Institut Supérieur d’Enseignement Pédagogique, rue des Carmes, 19b à Tournai.
PAF : 3 euros. Uniquement sur réservation. Renseignements et réservations : sylvie-nounckele@skynet.be, +32 56 48 36 27. Nombre de places limité.
Voici une proposition d'activité hors du cadre de la formation (pour ne pas vous obliger à vous libérer 3 samedis après-midi de suite...). Un après-midi qui intéressera les personnes intéressées par le travail avec des enfants. Y participent des personnes issues du champ de l'enseignement, des institutions pour enfants et des psychanalystes.
J'espère y voir quelques unes d'entre vous.
CD
Cien – Centre Interdisciplinaire sur L’ENfant
Après-midi inter-laboratoires du Cien
Tournai, le 4 juin 2011
Après-midi inter-laboratoires du Cien
Tournai, le 4 juin 2011
En 2009, une première rencontre inter-laboratoires avait été organisée par les quatre laboratoires de Bruxelles, Lille et Tournai sur le thème du "décrochage". Nombreux sont les participants qui ont voulu voir l’expérience se réitérer.
Ladite violence
Des réponses inédites
Des réponses inédites
Cette fois, c’est à Tournai que se réuniront les quatre mêmes laboratoires autour du thème de ladite violence. Chaque laboratoire présentera une situation liée à cette question en fonction de son axe de recherche propre.
Il s’en suivra des échanges, animés par Jacqueline Dhéret, psychanalyste à Lyon, membre de l’ECF, et elle-même responsable d’un laboratoire de recherche et Philippe Cousty, membre du bureau du CIEN.
Argument
Ladite violence, qu’elle s’immisce dans l’école ou dans tout autre lieu de la cité, produit souvent la mise à mal du lien social entre les parties concernées. Vouloir l’éradiquer, la faire taire ou l’ignorer par tous les moyens apparaît comme la tendance actuelle, contingente, de notre société qui tend à masquer la dimension nécessaire liée à cet état, que l’on peut nommer agressivité. A voir les réponses proposées, on peut en effet se demander si notre société actuelle n’aurait pas produit une rupture dans la subjectivité de nos enfants, transformant l’agressivité des jeunes turbulents du siècle dernier en troubles du comportement à éradiquer en fonction des derniers tests de dépistage standardisés ?
Il n’est pourtant pas question de rester muet face à la violence mais ce repérage, produit par le discours psychanalytique, peut ouvrir de nouvelles pistes de réponse qui ne cherchent pas à éliminer ce mal nécessaire mais tentent de trouver, au cas par cas, des stratégies susceptibles de la pacifier et de la rendre viable pour tous.
L’après-midi se déroulera le samedi 4 juin de 14h à 17h30 en la Salle des Fêtes de l’Institut Supérieur d’Enseignement Pédagogique, rue des Carmes, 19b à Tournai.
PAF : 3 euros. Uniquement sur réservation. Renseignements et réservations : sylvie-nounckele@skynet.be, +32 56 48 36 27. Nombre de places limité.
Christophe DUBOIS- Messages : 10
Date d'inscription : 30/11/2010
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